Épisode Episode 9 S01E09 - La Casa de Papel Saison 1

@parenthese : c'est vrai qu'on n'a tellement peu l'habitude de voir le Professeur sur le terrain qu'il y a de quoi s'inquiéter pour lui. Tu me fais sourire avec Tokyo "pas très nette", mais c'est parfaitement justifié.

Alors là, je ne connais pas mon degré de fascination pour le professeur, mais quand il sort pour rattrapper les bourdes, j'ai peur qu'il se fasse prendre LOL !!!!

En plus de ses qualités d'organisation, on apprend qu'il parle russe couramment , autre chose ???

Moscou, plein de sagesse , calme mais qui sait dire ce qu'il faut quand il faut et à qui il faut .

Berlin , instable peut être, mais il reste un vrai chef et quand on voit toutes les conn...ries des autres, heureusement qu'il garde la tête sur les épaules .Maintenant qu'il pète un plomb après toutes les fausses charges que l'on a balancées sur lui ....

dans le genre instable, je ne trouve pas Tokyo très nette non plus .

N'empeche c'est la deuxieme fois que Le Professeur doit sortir de sa zone de confort et prendre des risques démeusuré, il s'en sort encore bien mais j'ai bien peur que les prochaines fois l'impro ça ne marche. Car il faut se l'avouer Le Professeur est bien plus doué dans la préparation que dans l'improvisation.

Tokyo et Rio je trouve leur couple mignon même si franchement j'ai du mal a les suivre des fois.

Et pour Berlin je le trouvais bipolaire au debut mais enfaite non ca personnalité est toujours pareil détestable ...

Par contre il étais pas prévu un diné entre Raquel et Le Professeur ? A moins qu'on soit encore dans la même journée et qu'il n'est pas encore eu lieu ...

*Fait une grande ola pour Moscou*

Ben quoi on est dans une série espagnole donc c'est mérité! Et Moscou est génial, mon personnage préféré avec Nairobi je pense.

@cinto : je participe à l'ovation pour Moscou :-)
Ce qui est remarquable avec Moscou, c'est qu'il parvient à dire ses 4 vérités à Tokyo de manière constructive. Ce n'est pas agressif, c'est encore une fois paternel, il lui ouvre les yeux.

Alors, gros coup de théâtre pour Berlin et Arturo: Monica est bien vivante. Elle est plus souriante avec Denver qui a été gentil avec elle qu'avec son "Arturo". 

Le Professeur m'épate!! Il comprend tout, il sait tout faire , il a tout prévu et il joue gros. Ce type est très intelligent et l'intelligence le rend sexy.

J'applaudis Moscou à deux mains: il a dit à Tokyo ses 4 vérités. C'était quoi déjà ? égoïste, superficielle, instable et sans coeur. Oui, une ovation pour Moscou, siouplaît!!

Monica/ Denver: j'aime cette relation qui se construit petit à petit. Effectivement il y aurait bien du syndrome de Stockholm dans l'air mais Denver -sous ses airs un peu bebêtes quand même- et super touchant.

Bloom: comme toi je ne supporte pas Arturo! Tu n'es pas ma moitié pour rien ^^!

Moscou reste un de mes personnages préférés (avec Nairobi): il est paternel, gentil, patient... dommage que ce soit un braqueur quoi^^!

Alors comme ça le Professeur parle russe? Il y a un truc qu'il ne sait pas faire?

Moscou est vraiment attachant. L'une des forces de La Casa de Papel est son éventail de personnages très variés.

Tokio qui se remet en question, j'ai bien aimé la scène avec Moscou pleine de sincérité, histoire de lui mettre la vérité en face. 

Oh oh Berlin est au courant pour Monica... j'ai vraiment eu peur pour elle ! En plus j'ai l'impression qu'elle se rend compte qu'elle s'attache à Denver.

Monica commence à comprendre qu'elle éprouve des sentiments pour Denver. Je pense que même elle, elle doit se dire qu'elle fait un syndrome de Stockholm, d'où sa réaction assez dure au réveil de Denver.

Berlin m'a bien fait flipper, car après le passage à tabac de Rio et la mise à mort de Monica, je m'attendais au pire.

Le professeur prend des risques pour se protéger et protéger le plan et c'est très drôle de voir comment il panique en action alors qu'il est ultra zen quand il est dans sa planque.

Et enfin, j'ai bien aimé ce qu'à dit Moscou. Il cherche à protéger son fils, et même si ses paroles peuvent être dure, Tokyo en avait besoin pour se remettre en question et avancer.